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Infolettre des fiduciaires – Mai 2021

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MA STRATÉGIE POUR UNE MEILLEURE SANTÉ GLOBALE

(Par Martine Dionne, DSF-S)

Ma stratégie pour une meilleure santé globale est de m’assurer d’avoir un équilibre dans ma vie.

La formule 8/8/8 est un partage d’une ancienne collègue enseignante qui a toujours préconisé une balance au temps consacré à son travail, à sa vie personnelle et au sommeil comme étant essentielle.

En suivant ses conseils judicieux, je réussis toujours à maintenir une attitude saine au travail, à garantir ma santé physique (nutrition et exercices) et à prendre le temps nécessaire au repos. Dans un cycle de 24 heures, si l’équilibre est adéquat, les épreuves (pandémie, masques, distanciation physique) sont souvent plus faciles à vivre et à surmonter.

Félicitations à Martine Dionne qui a partagé sa stratégie envers une meilleure santé globale ! Elle recevra une carte-cadeau de 150 $.
 
Félicitations aussi à Mathieu Martin et Julija Rans qui ont gagné une carte-cadeau de 75 $ lors des tirages de mars et avril.
 
Merci à toutes celles et tous ceux qui ont soumis un témoignage cette année !

Vos avantages sociaux : Services de conseillers


Le 29 avril dernier, lors de leur dernière rencontre, les fiduciaires de l’assurance collective de la FENB ont décidé d’accroitre les critères d’admissibilité pour les services de conseillers. 

Depuis le 1er mai, les qualifications requises par le régime d’assurance collective pour obtenir le remboursement des services d’un conseiller sont les suivantes :

  • Maîtrise en travail social
  • Maîtrise en éducation avec une spécialisation en counseling
  • Certification de l’Association canadienne de counseling et de psychothérapie

Le remboursement maximal de frais encourus pour les services de conseillers est de 600 $ par personne, par année civile.

À noter que ce changement n’aura aucun impact sur la liste des conseillers déjà admissibles.

Vivre avec la pandémie a mis en lumière le besoin de se concentrer sur l’amélioration de son
mieux-être.


Si vous demandiez à la plupart des personnes comment elles se sentent au milieu de la pandémie de COVID 19, elles diraient probablement ressentir de la vulnérabilité et de la fatigue. Les protocoles de santé publique entourant la distanciation sociale, les exigences d’isolement et de quarantaine, les contraintes relatives au télétravail et à l’aide à apporter simultanément à ses enfants d’âge scolaire dans leur apprentissage en ligne ou à la gestion des soins quotidiens à prodiguer aux enfants plus jeunes ont tous des effets néfastes sur la santé mentale, physique et émotionnelle.

Les personnes souffrent d’insomnie et manquent d’entrain pour les tâches qui nécessitent un effort physique. On constate une augmentation des comportements obsessifs compulsifs, de l’angoisse sociale et de la germophobie liés aux protocoles de propreté. Certaines personnes ont aussi subi des pertes importantes, qu’il s’agisse de proches ou d’amis qui ont succombé à la COVID-19 ou bien de leur propre santé, s’ils vivent avec les effets à long terme de la COVID-19 sur leurs poumons et sur leur cœur, par exemple.

À l’heure actuelle, les chercheurs et les psychologues s’inquiètent des effets à long terme du stress alors que nous continuons de vivre dans l’incertitude de la pandémie. Ils sont préoccupés par l’ampleur de tous les aspects de la vie qui ont été touchés et de la durée de ces effets. Plusieurs personnes qui ont perdu leur emploi ont de la difficulté à se procurer de la nourriture, à se loger ou à payer les frais afférents. Elles ne parviennent pas à reprendre le dessus et nombreuses sont celles qui souffrent de troubles de santé mentale causés par le stress chronique.

Joshua C. Morganstein, directeur adjoint du Centre for Study of Traumatic Stress de Bethesda, au Maryland, fait remarquer, au sujet des catastrophes qui ont lieu dans le monde entier, depuis l’accident nucléaire de Tchernobyl et la pandémie de SRAS en 2003 jusqu’à l’ouragan Katrina en Nouvelle-Orléans en 2005, que «les effets néfastes des catastrophes sur la santé mentale ont une incidence sur un plus grand nombre de personnes et durent plus longtemps que leurs effets sur la santé physique ». M. Morganstein reconnaît à quel point le stress est nuisible et peut affecter les personnes et, partant, la société. Il affirme que nous devons commencer à considérer le stress « comme une toxine, telle que le plomb ou le radon » et évaluer dans quelle mesure l’exposition au stress affectera la santé des personnes à long terme3.

Toutefois, pour un sous-groupe de personnes, la pandémie s’est avérée être « incroyablement positive »4. Pour certaines personnes qui vivaient beaucoup de stress pré-pandémie, les restrictions ont atténué l’anxiété, ont fait disparaître les attaques de panique, et leur ont permis de jouir d’un sentiment accru de liberté et de sécurité. Ainsi, elles ont réussi à mieux concilier leur travail et leur vie personnelle et ont accompli des tâches qu’elles évitaient peut-être auparavant, comme le grand ménage, en plus de se découvrir des passe-temps.


 

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