(Service des communications de la FENB – Fredericton) – Les coprésidents de la Fédération des enseignants du Nouveau-Brunswick espèrent que le sommet sur l’éducation mènera à des changements qui aideront à répondre aux besoins des élèves de notre système d’éducation publique.

Le personnel enseignant travaille extrêmement fort afin de répondre à tous les besoins des élèves et en dépit de conditions parfois éprouvantes, il arrive à savourer de nombreuses réussites. Par contre, les ressources nécessaires pour exercer de manière efficiente la profession enseignante tout en atteignant les objectifs relatifs à l’inclusion scolaire restent anémiques.

« La salle de classe doit rester un milieu propice à l’apprentissage et à l’enseignement. Tous les élèves devraient avoir le droit d’apprendre et de s’épanouir dans une salle de classe sécuritaire et sans perturbations extrêmes et fréquentes. », estime le coprésident, Gérald Arseneault. « La Politique 703 (Milieu propice à l’apprentissage et au travail) vise la création et le maintien d’environnements scolaires inclusifs, sécuritaires et respectueux. Or, dans les faits, sa mise en œuvre n’a pas été aussi rigoureuse qu’elle aurait dû être. », poursuit M. Arseneault.

« Nous espérons que le ministre de l’Éducation et du Développement de la petite enfance continuera d’écouter activement le personnel enseignant et les organisations de la profession enseignante qui parlent en leur nom publiquement. », indique le coprésident, Rick Cuming.  « Le personnel enseignant occupe une position privilégiée pour observer ce qui se passe en salle de classe. Son professionnalisme et son expérience lui permettent, dans les limites des possibilités qui lui sont offertes, d’amener chaque élève à atteindre son plein potentiel. Par conséquent, il apparait logique et essentiel que sa voix soit entendue à l’intérieur du système » ajoute M. Cuming.

Le personnel enseignant indique comprendre les défis auxquels font face les districts scolaires et souhaitent contribuer à trouver des solutions afin d’assurer la meilleure éducation qui soit aux élèves de la province. Les coprésidents rappellent que les besoins sont grandissants et que plusieurs élèves nécessitent un soutien en matière de santé physique et mentale, de comportement et de besoins socioaffectifs, entre autres.

La FENB est vouée à conseiller et à appuyer ses membres, et à protéger les conditions de travail de la profession enseignante en négociant des améliorations au bien-être social et économique des enseignantes et des enseignants.

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